La fête sans alcool est-elle devenue tendance ?

Depuis quelques années, une nouvelle manière de célébrer s’impose chez la jeune génération : des fêtes en journée, sans alcool ni drogue, appelées soft clubbing.

Vous n’êtes pas sans savoir que la génération Z – née entre la fin des années 1990 et 2012 – boit moins d’alcool que ses aînés. Cette évolution s’inscrit dans un mode de vie plus sain, où le bien-être personnel prime sur les excès. Dans ce contexte, une nouvelle manière de faire la fête s’est développée ces dernières années, le soft clubbing, comprenez des soirées sans alcool, sans drogues et si possible de jour.  

Plusieurs exemples illustrent ce mouvement, comme le collectif Fucking Sober en Belgique ou encore les « sober raves » ponctuelles du mythique Ministry of Sound. Cette nouvelle vague a également conquis l’Australie, où des lieux comme le Maple Social Club à Sydney organisent des matinées « Café + DJs ».

Partout, l’idée reste la même : démontrer qu’il est possible de s’amuser pleinement sans boire une goutte d’alcool.

Si le sujet divise – beaucoup associant encore la fête à la consommation –, il n’en demeure pas moins un excellent moyen pour les clubs d’attirer un nouveau public.