French Touch, French Tech, French Lab ... retour sur la dernière étape du Big Tour
21 septembre 2020 à 17h41 par Bastien Cochet
A l’occasion de la dernière étape du Big Tour à Paris samedi, l’évènement organisé par BPI France, la Société Générale était présente pour souligner son engagement auprès des entrepreneurs français.
Pour l’occasion, le directeur d’un des centres d’affaires parisiens du géant bancaire, Jean-Éric Auberger, était sur place. Entre prises de parole et participation à des animations faisant la part belle à la French Touch, la French Tech et le French Fab, il est revenu sur le rôle du secteur bancaire et plus particulièrement de la Société Générale pour faire face à la crise du coronavirus.
Pour Jean-Éric Auberger, la crise a eu un énorme impact sur l’économie mais elle a aussi été l’occasion de se rapprocher des entrepreneurs et de les accompagner de manière plus personnalisée: « Cela nous a permis de nous rapprocher encore plus de nos clients, échanger sur leurs besoins et les aider à rebondir. C’était aussi l’opportunité de dire : dans la crise, la banque est capable d’accompagner son client ».
Plus qu’un accompagnement personnalisé au jour le jour, le cadre de la Société Générale souligne aussi le rôle plus global de son secteur pour l’ensemble de l’économie hexagonale : « Je pense qu’on a été l’un des acteurs majeurs de cette crise même si on en a peu parlé, pour essayer d’accompagner nos clients et injecter de l’argent dans l’économie et faire en sorte qu’elle reparte le plus vite possible. »
Le monde de la Culture est bien entendu l’un des secteurs les plus touchés par cette crise sanitaire et la Société Générale apporte sa pierre à l’édifice en accompagnant les clients de son pôle réservés aux acteurs culturels. Grâce à des Prêts Garantis par l’Etat (PGE), la banque a aidé des clients sains, sans risques d’endettement important, à repartir sur de bons rails. Mais l’un des défis était aussi celui de s’adapter à un secteur aussi particulier que celui de la culture, avec son lot de contraintes et de spécificités : « Dans le secteur culturel, le chiffre d’affaires est souvent erratique, il y a des périodes avec et sans. Il était donc important de bien comprendre comment ce modèle fonctionne pour pouvoir l’accompagner au mieux. »
Dans cette période de transition, Jean-Éric Auberger souligne l’étonnante capacité d’adaptation de certains de ses clients, qui ont trouvé des solutions pour réinventer leur métier et continuer à développer leurs chiffres d’affaires en passant par internet lorsque la rencontre physique avec le public n’est plus possible.