Adjoint à la Maire de Paris : « Notre ligne, c'est que la vie nocturne ne disparaisse pas ».

13 janvier 2021 à 11h09 par Christophe HUBERT

RADIO FG
Crédit : @Wolfgang / Pexels

Près d’un an déjà que les clubs et autres lieux de vie nocturne ont fermé leurs portes, à Paris comme ailleurs. Comment la capitale, elle, se prépare pour rebondir dès que l’épidémie de coronavirus nous aura laissé tranquille ? Comment faire en sorte que sortir, s’amuser, danser soit de nouveau possible ?

Hier, Antoine Baduel recevait Frédéric Hocquard, l’adjoint d’Anne Hidalgo au tourisme et à la vie nocturne. L’élu a confirmé que le Ville de Paris travaillait bien sur la création de « zones de fêtes » pour l’arrivée de l'été :

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Sortir, faire la fête est parfois perçu comme non-essentiel. Et c'est au contraire, pour souligner l'importance de la vie nocturne que Frederic Hocquard déclare avoir écrit, avec plusieurs de ses homologues, à la Ministre de la Culture Roselyne Bachelot. Une lettre pour la sensibiliser sur les risques encourus notamment par le milieu de la nuit. 

Car de fait, Paris craint pour l’avenir de ses clubs et discothèques. D’ailleurs, le club historique parisien Le Tango semblait sur le point de mettre la clé sous la porte. « Semblait », car Frédéric Hocquard l’a certifié sur FG, « On va sauver le Tango, c'est sûr, il ne va pas disparaitre » : 

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Lieux outdoor, soutien et sauvegarde des clubs en danger de mort, Frédéric Hocquard a pour finir répondu positivement à la question d’Antoine Baduel sur les ambitions de Paris de rester une capitale européenne du clubbing et de la culture : "Je ne veux pas voir disparaître la vie nocturne, festive et LGBT à Paris puisque ça fait partie du patrimoine de notre ville".

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